D’une part, on m’a demandé de parler de XeTeX et des nouveaux moteurs — c’est-à-dire LuaTeX — parce que je recommande effectivement l’emploi de Xe(La)TeX à qui débute, notamment pour la gestion de l’UTF-8.
Je présente donc dans cette conférence pourquoi ces deux moteurs sont meilleurs que pdfTeX pour gérer l’UTF-8, mais aussi pour d’autres problèmes. Et j’expose aussi leurs différences [1]
D’autre part, en tant que mainteneur de (r)(e)ledmac / (r)(l)edpar depuis 2011, et pour une sessions spécifiquement consacrée à la typographie, j’ai jugé utile de faire un bilan d’étape de mon travail, et surtout des choix majeurs que j’ai effectués.
Vos commentaires
# Le 6 mars 2018 à 15:50, par Corentin Jourdan
En réponse à : Journées LaTeX de Lyon 2017 : supports de présentation
ces deux moteurs sont meilleures : 1 faute
pour une sessions spécifiquement consacré à la typographie : 2 fautes
Deux doctorats n’ont pas suffi à vous apprendre à écrire, semble-t-il !
# Le 6 mars 2018 à 15:52, par Maïeul
En réponse à : Journées LaTeX de Lyon 2017 : supports de présentation
Je suis dysorthographique et je vous embete.
# Le 6 mars 2018 à 15:55, par Maïeul
En réponse à : Journées LaTeX de Lyon 2017 : supports de présentation
Si vous avez besoin d’un e pour comprendre le sens d’une phrase, c’est vous qui avez un problème, pas moi. Si vous confondez exprimer des idées et suivre une convention, c’est vous qui avez un problème, pas moi. Bref, si vous préférez vous focalisez sur la forme plutôt que sur le fond, c’est vous qui avez un problème, pas moi.
# Le 6 mars 2018 à 15:57, par Maïeul
En réponse à : Journées LaTeX de Lyon 2017 : supports de présentation
Et j’ajouterais : si vous avez besoin de relever les fautes chez autrui et de les mépriser pour vous sentir exister, c’est vous qui avez un problème, pas moi.
# Le 27 avril à 12:38, par Joseph-Tux
En réponse à : Journées LaTeX de Lyon 2017 : supports de présentation
J’arrive bien tard sur cette brève discussion.
La polémique me chagrine toujours, même si j’en comprends ici la raison.
Le ton péremptoire de Corentin Jourdan est effectivement inutilement agressif et méprisant.
Sachant tout ce qu’on vous doit d’enseignement sur le web, et notamment sur LaTeX, ce commentaire est bien plus mal venu encore !
Je n’ai qu’un seul doctorat, et je fais encore, à 77 ans, bien plus de fôtes d’orthografe que je n’en trouve dans vos publications (il y a bien pire, même chez les amateurs de belle typographie).
Vos réponses sont honnêtes.
Qui n’a pas « un problème » ? sinon quelques pauvres orgueilleux au narcissisme démesurément pathologique. Dieu lui-même, dit-on parfois, ne s’en serait toujours pas sorti, notamment avec les humains et leur dépendance au diable.
Néanmoins, je respecte et je défends, dans la mesure de mes faibles compétences, une orthographe qui a ses avantages, porteuse d’une longue, complexe et souvent violente histoire dont nous sommes, à notre corps défendant, les héritiers. Mais elle doit bien aussi évoluer avec l’actualité, dans la mesure où cette évolution apporte autant qu’elle ne sacrifie.
À ce titre j’apprécie qu’on corrige, ou mieux, qu’on m’aide à corriger, mes fautes, aussi bien d’orthographe que de conduite ou d’expression dans ma vie. Mais toutes ces remarques, parfois bien désagréables, ne sont acceptables (et efficaces) qu’a condition de ne pas laisser paraître, ou même supposer, un « parfum » de malveillance, comme ici la critique intolérante, et donc intolérable. Une question de l’internet est l’absence de relation réelle, physique et temporelle qui rend plus délicat les critiques personnelles.
Dans le cas présent, le ton péremptoire et l’attaque personnelle sur les deux doctorats ne présente aucun intérêt, et a aussi pour effet de délégitimer son auteur, plus encore que d’agresser sa « cible ». Dommage (pour lui surtout) que Corentin Jourdan n’ait pas eu l’intelligence et l’honnêteté minimales de s’excuser.
En conclusion, la critique de mes erreurs et fautes est constructive lorsqu’elle reste digne, modeste et bienveillante. Celui qui l’exprime est alors mon maître.
Le coq est appréciable pour son chant, pour apporter la lumière. Il représente les pires bassesses humaines lorsqu’il se bat et veut chasser tout autre coq ou présumé tel.
PS Merci, lecteur de corriger mes fautes involontaires, merci de garder vos mauvais sentiments avec une pudeur qui vous honorera.